Suite à la publication de notre article intitulé “Vaccination : le docteur Denis Agret instrumentalise la mort d’un garçon de 8 ans” le 22 décembre 2021, Denis Agret a fait parvenir à la rédaction son droit de réponse.
Réponse de Denis Agret
Mon propos sur Twitter n’était qu’une question concernant le vaccin.
Le dernier rapport ANSM montre qu’il y a à ce jour au moins 3 décès chez les moins de 18 ans après vaccin Pfizer, 240 cas graves chez les 12 15 ans.
D’autre part, je sais de source sûre qu’au CHU de Montpellier des enfants “à risque” ont été injectés dès le mois de janvier 2021.
C’est bien parce que je me soucie de la santé des enfants que je communique sur les vaccins covid et les données ANSM.
Il est indispensable que les parents soient réellement informés alors qu’aucun média français ne relaie de manière honnête ces chiffres.
Les propos injurieux et menaçants dont je fais l’objet sur vos sites FB et Twitter ne nous élèvent guère en tant qu’Etre humain doué de conscience, pas plus que ceux dont peut faire l’objet notre Ministre de la santé.
J’ai bien sûr la plus grande peine quand il y a un décès d’autant plus quand il part trop tôt.
Les smileys étaient destinés aux “enquêteurs” et au Dauphiné et non aux parents.
Une enquête a été ouverte « en recherches des causes de la mort » de ce petit garçon, qui ne faisait l’objet, selon la mairie « d’aucune notification médicale »
Je profite pour vous dire que je n’ai jamais jeté en pâture la dite infirmière et qu’il s’agissait d’une publication hative du certificat de vaccination de Melanie Macip décédée à 15 ans après vaccination au Chu de Montpellier au mois d’août.
J’espère avoir répondu.
Vous pouvez publier cette réponse ainsi que les pièces jointes et inciter au calme, au respect et également à la transparence des médias.
Cordialement
Denis Agret
NDLR : Dans la mesure où nous n’avons pas pu entrer en contact avec Denis Agret avant la publication de notre article, nous avons volontairement fait preuve d’une certaine “largesse” pour accepter le contenu de ce droit de réponse. En effet, le contenu de la réponse doit se conformer à la loi, aux bonnes mœurs, à l’ordre public et ne porter atteinte ni à l’intérêt d’un tiers ni à l’honneur du journaliste. De plus, l’auteur de la réponse ne peut aborder d’autres sujets que ceux abordés par la publication qui le met en cause initialement. Des infographies et une vidéo YouTube étaient jointes à son courrier. Ces dernières étaient sans rapport avec l’article initial et n’ont donc pas été publiées.
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